Last Updated on 13 novembre 2020 by Thibault Dreze
Alors que le confinement bat son plein, tous les championnats sont à l’arrêt. Tous ? Non, en Biélorussie, une poignée de joueurs invincibles continuent leur compétition malgré la pandémie. Mais on ne va pas se mentir, la Premier League nous manque quand même. Bonne nouvelle, aujourd’hui, B2B t’a concocté un résumé d’un grand match des dernières années accompagné par le quiz qui va avec. Au menu du jour : un mémorable Arsenal – Liverpool datant de 2009.
Les ingrédients d’un grand match ? Deux équipes au sommet de leur art, du suspense, des performances individuelles au-dessus du lot, un stade en fusion, des grands noms sur la pelouse : à chacun sa recette favorite, mais ce qui est sûr c’est que cet Arsenal – Liverpool fait trône en bonne place dans ces duels avec la mention « grand match ».
Les autres quizz :
Arsenal – Manchester United 1997 : 3-2
Manchester City – Leicester 2016 : 1-3
Tottenham – Arsenal 2005 : 4-5
Chelsea – Manchester United 2012 : 3-3
Le contexte
Nous sommes le 21 avril 2009 et, en cette fin de saison, Liverpool finit en force : les Reds restent sur cinq victoires d’affilée. Un finish en force qui les verra notamment battre Manchester United 1-4 à Old Trafford pour finir à 4 points des Mancuniens. De son côté, Arsenal fait du Arsenal : les Gunners sont quatrièmes, une place récurrente pour eux, saison après saison. À domicile et dans sa forme du moment, Liverpool part donc avec un léger avantage.
Le décor planté, il reste à dévoiler les compositions d’équipes, mais pour ça, il faudra faire appel à la mémoire car c’est l’objet d’un quizz.
Le match
Les compos d’équipes clôturées, les poignées de main passées, le toss effectué, le coup d’envoi est enfin sifflé. La première mi-temps est surprenante : Arsenal inscrit le seul but des 45 minutes malgré la domination de Liverpool et rentre donc aux vestiaires en menant à la marque.
Mais le deuxième acte est très loin de nous offrir un score Arsenal : pas moins de sept buts y sont inscrits, dont deux dans le temps additionnel. Au final, le partage 4-4 est logique : avec le spectacle proposé, aucune des deux équipes ne méritait de perdre. Une soirée qui, outre le score, aura été marquée par le quadruplé d’Andrey Arshavin. A tsar is born.